mardi 19 janvier 2010

BONMARCHAND de luxe- LE FONDATEUR

Parlons un peu de lui ; votre interlocuteur et responsable de l’ensemble. °°°°un énorme chantier
Le parcours original personnel confirmera que les tripes du, principal dirigeant comptent pour >de 80 % dans une réussite. Si je vous le glisse, c’est, pour aider celles et ceux qui doutent.

***Je vous renouvelle mon avertissement. Dans ce blog, je ne vous parlerai que de luxe et de grand luxe-fondateur de la marque, générale « Bernard BONMARCHAND » « de Bonmarchand de luxe » puis des autres marques à venir
Je suis obligé d’admettre que, je vis un véritable conte de fées et que je m’y habitue. Quelle est la recette ?
=croire en la vie, porter un projet, un travail de longue haleine, vouloir bâtir ; une part de chance.
Fils d’ouvrier, j’ai grandi dans ce milieu que je connais bien, que je respecte-terreau fertile de la nation.
Sans fortune, j’ai pourtant hérité d’un grand capital= mon milieu d’origine, le courage, l’évolutivité, l’honnêteté. J’ajoute l’apport génétique. Si j’ai eu une idée géniale, elle a été de prendre mon destin en mains- enfant du « baby boum. »
La précision est importante situant l’époque ;
Le luxe à l’époque, c’était les grosses voitures « américaines », l’or, les bijoux ; l’immobilier, les yatchs et écuries ; voire l’avion privé...la haute couture
Bien dans ma peau et les sabots de ma naissance, ceux de bois de mon enfance, je n’envie pas ceux qui vivent dans le luxe.
Par contre, je suis sûr que je voulais réussir. Très jeune, j’ai pris conscience des réalités.
C’est en découvrant l’Amérique, à l’école que j’ai incubé l’intérêt, la fasciation vis à vis des Etats Unis ; de l’économie et des réussi- tes « à l’Américaine ».
Jeune apprenti, l’envie de commerce, d’entreprendre, me démangeait = je venais de prendre la décision de devenir patron de « p.m.i.e » ; de réussir pour fonder une famille heureuse, comblée ; dotée ;
J’ai rêvé d’or à 16 ans, dans un souci spéculatif, pour m’enrichir en vue de capitaliser. Démuni, j’ai dû renoncer, oublier.
Il ne faut pas avoir peur d’entreprendre- prudemment- et ne jamais désespérer. »Ajax » montre l’exemple = « malgré les dieux, je réussirai ».
=C’est en fait un incident de parcours ( et pour avoir « refusé » de frapper ç la porte du seul banquier décidé à m’aider)qui a été ma chance. Je l’ai saisi, pour comprendre que c’était que je disposais des éléments de base pour composer le puzzle, qui serait à assembler. Je pouvais, je devais profiter de bien préparer le rebond.
J’avais a trentaine que j’ai commencé à imaginer, rêver, projeter = « ah si j’avais des sous… ».
Adolescent, je m’intéressais fortement aux réussites industrielles, commerciales ; dans le souci de décrocher l’idée géniale et la fortune. Cet incident m’a fait investir dans deux années ; en créativité- création, afin de capitaliser.
C’est dans cette période que j’ai songé à des produits de toilette, à une ligne de vêtements. J’ai commencé à réfléchir au luxe, sous l’aspect économique. J’avais d’autres priorités avant de m’enfiévrer .Les pensées ont été enfouies dans le lot créatif.
Je ne croyais pas à mon étoile, encore moins à ma bonne étoile, mais au constat, je dois en convenir=elle était là, elle veillait.
Le fond auto éditorial, fort de 500 titres(de base, gonflant un catalogue général de 35 000 références), représentant 5/6 ans de travail tout de même ; penché en parallèle depuis une paire d’années ,sur els produits dérivés.
Je me suis investi dans l’équipement de la personne. Entre le textile et le luxe, il n’y a qu’un escarpin de Cendrillon..
=J’ai accepté l’opportunité qui m’était présentée; proposée. sans trop me rendre compte au départ de cette chance supplémentaire, entre mes mains.
J’ai eu le déclic en voyant les sacs et en prenant conscience de l’identité de mes concurrents- confrères.
Le cerveau du créatif, sa bosse du commerce, se sot associés pour avancer dans l’organisation; l’esquisse d’une gamme propre.
La motivation était maximale puisque je pouvais intervenir créa –teur- fabricant donneur d’ordres et distributeur.
Devant moi j’ai à développer un double circuit= partie du monde pour les modèles du partenaire et la planète pour mes marques car je n’entends pas en rester là.
Ce monsieur a rallumé la mèche lente. Le chantier en cours va « exploser », se concrétiser, comme j’en avais rêvé.
Je l’insère au profit des jeunes car ce n’est pas évident, tant qu’on n’y a pas goûté= la fréquentation des salons choisis, m’a fait et ça dure- gagner un temps énorme- avec l’information, les contacts, les ateliers. C’est important lorsque comme moi on avance dans un chantier énorme- devenu xxuvre inachevée de vie(le luxe n’est qu’une petite partie du chantier avec une dernière étape personnelle de 20 ans, dernière ligne droite- où je dois développer, une richesse économique et sociale maximale..
De la même façon ,je vous conseille= mettez du coeur dans votre moteur. Vivant votre projet, votre chantier, vous disposez d’une énergie plus riche ; vous serez plus efficace. Votre allié le plus précieux= le cerveau vous donnera un « sérieux » coup de main.
Je reviens au thème.
Mon objectif, ma vocation état de vous aider ; à évoluer, à réussir, à vous épanouir ; j’ai suffisamment d’occasion, dans mes activités, pour se faire.

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